Une étude dévoile les meilleurs et les pires élèves à l'égard des droits des filles. Khalil Ashawi / Reuters Doaa, âgée de 10 ans à Alep en Syrie, 2016. Khalil Ashawi / Reuters INTERNATIONAL - Le 11 octobre dernier avait lieu la Journée internationale des droits de la fille organisée par l'ONU, à cette occasion l'ONG britannique Save The Children a publié une étude sur la santé, l'éducation et les opportunités des filles dans 144 pays, reprise ce lundi par Courrier International. L'étude intitulée "Every last girl" "Aucune fille oubliée" prend en compte 5 indicateurs le mariage précoce, l'éducation scolaire, la grossesse d'adolescentes, la mortalité maternelle et la proportion de femmes présentes au Parlement. Les dix premiers pays qui arrivent en tête sont 1- Suède 2 – Finlande 3 – Norvège 4 – Pays-Bas 5 – Belgique 6 – Danemark 7 – Slovénie 8 – Portugal 9 – Suisse 10 – Italie Les pays scandinaves sont les bons élèves du classement, la Suède remporte la première place, suivi de la Finlande et de la Norvège. La France n'apparaît qu'en 18e position en raison de l'absence de parité au Parlement. Quant aux États-Unis, ils n'apparaissent qu'à la 32e place après les le Kazakhstan et l'Algérie en raison d'un taux important de grossesses d'adolescentes. Save the children Save the children De nombreux pays d'Afrique de l'Ouest apparaissent tristement en fin de classement, comme le Niger, le Tchad ou encore la Somalie. La raison principale s'explique par le fort taux de mariages d'adolescentes dans ces pays. L'enquête rappelle également des chiffres alarmants sur la condition des filles dans le monde"Dans le monde, toutes les sept secondes, une jeune fille de moins de 15 ans est mariée. Chaque année, 2,5 millions de filles de moins de 16 ans donnent naissance à un enfant". L'ONG ajoute que la grossesse et l'accouchement est la deuxième cause la plus fréquente de décès pour les filles entre 15 et 19 ans. Lire aussi À voir également sur Le HuffPostAinsi les personnes qui justifient d’un traitement médical en cours doivent s’assurer auprès de l’ambassade de Thaïlande la plus proche de leur domicile que les médicaments emportés sont autorisés. Des règles, en effet, s’appliquent selon la nature des médicaments et la quantité admissible.
Un paradoxe statistique bien connu a conduit de nombreux scientifiques à conclure que les mères de jumeaux étaient plus fertiles que les autres. En réalité, c'est précisément l'inverse, argumente une équipe internationale dans Nature Communications. En étudiant d'anciens registres de naissances des 18e et 19e siècles, ils concluent que les tests de fertilité actuellement utilisés en clinique ne sont pas tous pertinents... Et que ces erreurs statistiques sont particulièrement trompeuses en recherche. Le paradoxe de Simpson En 1973, un scandale frappe la prestigieuse Université de Berkeley Etats-Unis. Les candidats masculins sont 44% à avoir été pris, contre seulement 35% pour les candidates ! Pourtant, dans la plupart des cours pris séparément, le taux d’acceptation des femmes a été plus élevé que celui des hommes. Comment est-ce possible ? Un paramètre caché faussait tout le taux d’acceptation de chaque classe. En vérité, les femmes avaient beaucoup plus tendance à postuler aux cursus les plus sélectifs, diminuant leur taux d’acceptation. Ce type d’erreur dans laquelle l’analyse globale des chiffres inverse la réalité en raison d’un ou plusieurs paramètres non pris en compte se nomme le paradoxe de Simpson. “Ce problème peut émerger quand on compare des groupes d’individus pour en déduire des vérités à l’échelle individuelle”, explique à Sciences et Avenir Alexandre Courtiol, spécialiste en Biologie de l’Evolution à l’IZW de Berlin Allemagne. La fausse conclusion selon laquelle les mères de jumeaux sont plus fertiles En 2012, le chercheur tombe sur des travaux publiés dans une revue scientifique. “Ils expliquaient que les femmes ayant donné naissance à des jumeaux étaient plus fertiles que les autres”, raconte-t-il. “Mais toute leur démonstration était basée sur des erreurs statistiques qui risquaient au mieux de fausser leurs résultats, et au pire de les inverser”. Dans leurs nouveaux travaux, dont il est l’auteur principal, Alexandre Courtiol et toute une équipe de biologistes, généalogistes et statisticiens, l'ont démontré pires que faussés, les résultats étaient inversés, selon un pur exemple du paradoxe de Simpson. “En réalité, les femmes avec des jumeaux ont une fertilité un peu plus faible que les autres”, précise Alexandre Courtiol. Dans ce cas de figure, le paramètre caché était le nombre de naissances par femme. “Ce que les premiers chercheurs avaient constaté, c’est que les femmes avec des jumeaux avaient plus d’enfants, et ils en avaient conclu qu’elles étaient plus fertiles”, explique François Rousset, directeur de recherche au CNRS en Evolution et statistiques et co-auteur de ces nouveaux travaux. “Mais les conducteurs qui conduisent plus auront plus d’accidents. Cela ne veut pas dire qu’ils conduisent moins bien, mais qu’ils ont été plus exposés aux risques d’accident. De même, une femme qui a plus de naissances s’expose plus au fait d’avoir des jumeaux”. FAUX VS VRAIS JUMEAUX. Les vrais jumeaux sont issus d’un seul ovule fécondé qui s’est scindé en deux. C’est un événement rare qui donne deux individus génétiquement identiques. Les faux jumeaux, à la fréquence bien plus élevée et variable d’un pays à l’autre, sont issus de deux ovules fécondés par deux spermatozoïdes différents, comme des frère et sœur. Des registres de naissances d’il y a plusieurs siècles Pour en arriver à cette conclusion, l'équipe s'est penchée sur les registres de naissance tenus par les églises, de femmes nées entre les années 1670 et 1899 dans diverses communes de Finlande, Norvège, Suisse, Suède et Allemagne. Un recueil des données précédemment fait par des généalogistes spécialisés. “Traduire les registres paroissiaux c’est très compliqué. Même écrits en français, je n’y comprends rien, l'écriture manuscrite et les abréviations compliquent le déchiffrage”, avoue Alexandre Courtiol. Pourquoi ne pas utiliser des données contemporaines ? Tout simplement parce qu’entre la contraception et les PMA, le nombre d’enfants d’une femme ne reflète plus sa fertilité. “Nous avions besoin de données d'une époque où l’on cherchait à avoir des familles bien plus grandes qu'aujourd'hui”, explique François Rousset. Le record était d’ailleurs de 18 naissances pour une femme ! Une fois ces données numérisées et nettoyées, le vrai travail de l’équipe commence. “Ma mission était de développer des méthodes statistiques tenant compte de variables qu’on ne peut pas mesurer, mais qu’on peut prédire. On appelle ça des effets aléatoires”, ajoute le chercheur. Pour analyser les plus de naissances des registres en tenant compte de ces effets aléatoires - des prédispositions génétiques, par exemple -, il a fallu “optimiser le code, c’était un gros défi”. Et ça n'a pas été le seul challenge. “A plusieurs étapes, nous nous sommes rendus compte que nous tombions dans le même piège que nous essayions de dénoncer”, rapporte Alexandre Courtiol, tant ce type d’erreur statistique est facile. Les chercheurs finissent par mettre au point un modèle qui simule la vie reproductive des femmes afin d’évaluer différentes hypothèses biologiques. Ce modèle considère comment des aspects comme l'âge et la fertilité influencent le taux de jumeaux, l’intervalle entre les naissances et la probabilité de continuer à avoir des enfants après en avoir eu un certain nombre. Résultat, toutes choses étant égales par ailleurs, les femmes donnant plus de naissances avaient plus de chances d’avoir des jumeaux durant leur vie. Mais une fois qu’elles avaient des jumeaux, elles avaient une faible probabilité de donner à nouveau naissance, si bien que les femmes avec jumeaux avaient un nombre d’enfants légèrement inférieur à la moyenne. “Un équivalent serait de dire que les gens qui conduisent beaucoup ont beaucoup d’accidents, mais en même temps les gens qui ont plus de chances d’avoir des accidents parce qu’ils conduisent mal conduisent moins après. Les deux peuvent être vrais”, explique Alexandre Courtiol. LE FACTEUR GENETIQUE. Bien sûr, au-delà de la fertilité, certains facteurs génétiques jouent dans la probabilité d’avoir des jumeaux, “mais leur poids n'est pas si élevé que ça”, pointe Alexandre Courtiol. “Le facteur le plus fort, et de très loin, c’est l’âge de la mère.” La probabilité d’avoir des jumeaux augmente ainsi jusqu’à atteindre un pic vers l’âge de 35 ans, avant de diminuer à nouveau. Car si la chance d’avoir des jumeaux augmente avec l’âge, à partir d’un certain seuil, c'est le risque de fausse couche qui prédomine. Le paradoxe apparent des faux jumeaux dans l’Evolution Pour ces biologistes de l’Evolution, une question reste en suspens. “La persistance des 1 à 3% de jumeaux chez les humains semble être un paradoxe car les enfants naissent petits et donc fragiles et les mères ont des grossesses à risque qui diminuent leurs chances de survie”, remarque Alexandre Courtiol. Si la sélection naturelle ne l’a pas éliminée, c'est qu’il doit y avoir des bénéfices. Deux hypothèses se distinguent, qui pourrait bien être vraies toutes les deux. D’abord, la double ovulation nécessaire à la naissance de faux jumeaux pourrait être un mécanisme de compensation de la baisse de fertilité chez les femmes qui prennent de l’âge. Ensuite, il se pourrait que la naissance de jumeaux compense la baisse de fertilité féminine au lieu d’avoir un enfant avant de "fermer boutique", la mère en a deux. Mais cela ne fonctionne que si la survie des jumeaux est similaire à celle des enfants uniques, ce qui dépend probablement notamment de la prospérité de la population. Cette hypothèse pourrait avoir l’avantage d’expliquer en partie la variabilité du nombre de jumeaux d’un pays à un autre. TAUX DE FAUX JUMEAUX. En Asie de l'Est et en Océanie, on compte moins de 8 naissances gémellaires pour naissances, contre 9 à 16 en Europe, aux Etats-Unis et en Inde et 17 et plus dans certains pays d'Afrique, d’après une publication de 2011. La recherche en fertilité faussée Au-delà de la meilleure compréhension de la gémellité et des bonnes pratiques d’analyse statistiques, ces travaux ont un intérêt clinique. Car beaucoup d’études sur la fertilité féminine comparent un groupe de femmes mères de faux jumeaux de femmes qui n’en ont pas eu, partant du principe que les premières sont plus fertiles que les secondes. “Les faux jumeaux nécessitent une ovulation double au lieu d’une ovulation simple. L’idée est donc de comprendre d’où vient l’avantage de cette ovulation double pour s’en inspirer, créer des traitements pour la provoquer, ou l’anticiper l’arrivée des jumeaux. Ce n’est pas bête mais ça ne marche pas”, conclut Alexandre Courtiol. “Quand on crée un groupe de femmes avec et sans jumeaux, on crée des groupes de femmes qui ont vraisemblablement eu un nombre de naissances différent.” Si le souci est moins important de nos jours, où les femmes ont moins d’enfants qu’autrefois, le risque existe quand même de créer de faux effets de fertilité au niveau de gènes aux effets très faibles. Pire, “ça signifie que l’on passe à côté des bons gènes, qui pourraient vraiment jouer sur la fertilité”, pointe le chercheur. "Nous espérons que la pratique clinique s’améliorera en utilisant des protocoles qui tiennent compte de ces biais.”Journalen français facile 18/08/2022. Clémentine Pawlotsky : Merci d'écouter RFI. Il est 22h00 à Paris, 23h00 à Lviv. Bonsoir à tous, bienvenue dans votre Journal en français facile, présenté ce soir avec Sylvie Berruet, bonsoir Sylvie ! Sylvie Berruet : Le classement 2019 des personnalités féminines les plus admirées au monde a été dévoilé. L'ancienne First Lady Michelle Obama arrive en tête. Inès Straub 1. Michelle Obama Best Image La personnalité féminine la plus admirée en 2019 est Michelle Obama. L’ancienne première dame des Etats-Unis, dont l’autobiographie Devenir Becoming » en anglais fait un carton, gagne une place par rapport à l’année dernière. 2. Oprah Winfrey Getty Images L’animatrice, actrice, philanthrope et productrice américaine Oprah Winfrey gagne une place et arrive en deuxième position de ce palmarès. Le talk show qu’elle a animé pendant plus de 22 ans The Oprah Winfrey Show, est le programme le plus vu de l'histoire de la télévision. Elle est désormais très engagée politiquement et certain la considèrent comme la candidate idéale face à Donald Trump en 2020. 3. Angelina Jolie Getty Images En troisième position, Angelina Jolie. L’actrice est depuis plusieurs années ambassadrice de bonne volonté du Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés HCR. 4. Elisabeth II Getty Images La reine Elisabeth II arrive à la quatrième place. A 93 ans, elle est le souverain britannique ayant régné le plus longtemps plus de 67 ans. 5. Emma Watson Getty Images Emma Watson clôture le top 5. L’actrice britannique est très engagée dans la lutte pour le droit des femmes et a d’ailleurs été nommée ambassadrice de bonne volonté par l'ONU Femmes. 6. Malala Yousafzai Best Image Icône de la lutte pour l’éducation des femmes, la pakistanaise Malala Yousafzai est sixième de ce classement. Dès son plus jeune âge, elle s’oppose aux Talibans qui tentaient d’interdire a scolarisation des filles. Elle est victime d’un attentat auquel elle survit miraculeusement. En 2014, alors âgée de seulement 17 ans, elle reçoit le prix Nobel de la paix. 7. Peng Liyuan Getty Images La première dame chinoise, Peng Liyuan, fait son entrée dans ce classement et se place septième. L’épouse du président Xi Jinping, ne doit pas sa renommée à son mari, puisqu’elle était avant même de l’épouser une star de la chanson en Chine. 8. Hillary Clinton Getty Images Ancienne first lady, secrétaire d’Etat des Etats-Unis et candidate malheureuse à l’élection présidentielle de 2016 face à Donald Trump, Hillary Clinton se place en huitième position. 9. Tu Youyou Sipa La neuvième place revient à Tu Youyou, pharmacologue et chimiste chinoise. Elle a reçu le prix Nobel de médecine en 2011 pour avoir mis au point un traitement contre le paludisme. 10. Taylor Swift Getty Images La chanteuse Taylor Swift clôture le top 10. L’auteur, compositeur et interprète a commencé sa carrière à 17 ans avec des musiques country et est devenue au fil des années une icône de la pop incontournable de sa génération. 11. Madonna Getty Images En onzième position, la reine de la pop Madonna. Icône féministe et adepte de la provocation la chanteuse a marqué le monde de la musique en plus de 30 ans de carrière. 12. Angela Merkel Getty Images La chancelière allemande Angela Merkel est douzième de ce classement. Désignée à douze reprises femme la plus puissante du monde par le magazine Forbes, elle fait partie des personnalités politiques les plus influentes. 13. Deepika Padukone Getty Images L’actrice indienne Deepika Padukone se place en treizième position. Véritable idole à Bollywood, elle est l’actrice la mieux payée d’Inde. 14. Priyanka Chopra Getty Images Actrice, chanteuse et Miss Monde 2000, l’Indienne Priyanka Chopra est quatorzième du classement. Depuis 2015, sa carrière prend un tournant international, grâce à la série américaine Quantico. 15. Ellen Degeneres Getty Images En quinzième position, l’animatrice et comédienne américaine, Ellen Degeneres. Dans les années 90, sa popularité fait un bond lorsqu’elle fait son coming out en direct dans The Oprah Winfrey Show. Depuis 2003, elle est aux commandes du très populaire talk-show The Ellen DeGeneres Show. 16. Aishwarya Rai Getty Images Aishwarya Rai se place seizième. Elue Miss Monde en 1994, elle devient une véritable star dans son pays et commence une carrière d’actrice à Bollywood. Considérée comme l'une des personnalités indiennes les plus populaires et les plus influentes à l'étranger, elle est la première actrice indienne à être membre du jury du Festival de Cannes en 2003. 17. Sushmita Senest Sipa Encore une ancienne Miss indienne dans ce classement. L’actrice et mannequin Sushmita Senest se place 17e. Elle est la première Indienne à remporter le titre de Miss Univers en 1994, la même année où Ai Aishwarya Rai remporte le titre de Miss Monde. Elle entame par la suite elle aussi une carrière à Bollywood. 18. Theresa May Getty Images La Première ministre démissionnaire Theresa May arrive à la 18e place. L’échec de la femme politique britannique à mener le Brexit ne l’a pas empêchée de figurer dans ce classement des personnalités les plus admirées. 19. Melania Trump Getty Images Troisième first lady du classement, Melania Trump est à l’avant-dernière place du classement. L’ancien mannequin slovaque a épousé Donald Trump en 2005. 20. Yang Mi Getty Images L’actrice et chanteuse chinoise Yang Mi clôture ce palmarès. Elle est l’une des actrices les plus populaires de cabinet d’étude de marché YouGov a dévoilé son classement annuel des 20 personnalités les plus admirées du monde. Cette année, l’ancienne first lady Michelle Obama arrive en tête du classement et détrône ainsi Angelina Jolie, qui occupait cette place depuis 3 ans. L’actrice est également doublée par la présentatrice américaine Oprah Winfrey, sur la deuxième marche du podium. Le top 5 est complété par la reine Elizabeth II et l’actrice engagée Emma Watson. Le palmarès est dominé par des artistes, 12 des femmes les plus admirées étant ainsi actrices, chanteuses, ou encore des présentatrices télé. Découvrez l’intégralité du classement en images !Pour mener à bien cette étude, un panel de 42 000 personnes à travers 41 pays a d’abord été amené à répondre à la question Quelles sont les personnalités vivantes que vous admirez le plus ? ». Les résultats ont été compilés en une liste de 20 femmes ayant reçu le plus de votes spontanés dans au moins 4 pays et 10 personnalités locales préférées différentes pour chaque pays. Cette liste a ensuite été soumise aux votants.>A découvrir également Qui sont les personnalités qui font rêver les jeunes Français ? le 23/07/2019 Sur le même thème
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16 février 2017 à 18h16 par La rédaction The Journal of Female Health Sciences a réalisé une étude surprenante concernant les poitrines des femmes à travers le monde Pour se faire, les chercheurs ont analysés le tour de poitrine ainsi que la masse corporelle de 400 000 femmes représentants 108 pays différents. Bien évidemment, les femmes enceintes et celles portants des implants mammaires n'ont pas participé à l'expérience. Rapidement, les chercheurs se sont aperçus que les américaines avaient une plus grosse poitrine que le reste du monde leur tour de poitrine se situe toujours entre le bonnet F et G. Les deuxièmes sont les canadiennes et les irlandaises avec un bonnet D. Les polonaises et les anglaises complètent le top 5 des plus grosses poitrines du monde. Au contraire, les femmes qui ont les plus petites poitrines se trouvent en Asie du sud est, notamment aux Philippines et en Malaisie.