Cesont des personnes qui sont handicapées de manière permanente, ou d’autres, temporairement. On pense aussi aux personnes âgées ou aux femmes enceintes, pour lesquelles on peut réserver
Une étude dévoile les meilleurs et les pires élèves à l'égard des droits des filles. Khalil Ashawi / Reuters Doaa, âgée de 10 ans à Alep en Syrie, 2016. Khalil Ashawi / Reuters INTERNATIONAL - Le 11 octobre dernier avait lieu la Journée internationale des droits de la fille organisée par l'ONU, à cette occasion l'ONG britannique Save The Children a publié une étude sur la santé, l'éducation et les opportunités des filles dans 144 pays, reprise ce lundi par Courrier International. L'étude intitulée "Every last girl" "Aucune fille oubliée" prend en compte 5 indicateurs le mariage précoce, l'éducation scolaire, la grossesse d'adolescentes, la mortalité maternelle et la proportion de femmes présentes au Parlement. Les dix premiers pays qui arrivent en tête sont 1- Suède 2 – Finlande 3 – Norvège 4 – Pays-Bas 5 – Belgique 6 – Danemark 7 – Slovénie 8 – Portugal 9 – Suisse 10 – Italie Les pays scandinaves sont les bons élèves du classement, la Suède remporte la première place, suivi de la Finlande et de la Norvège. La France n'apparaît qu'en 18e position en raison de l'absence de parité au Parlement. Quant aux États-Unis, ils n'apparaissent qu'à la 32e place après les le Kazakhstan et l'Algérie en raison d'un taux important de grossesses d'adolescentes. Save the children Save the children De nombreux pays d'Afrique de l'Ouest apparaissent tristement en fin de classement, comme le Niger, le Tchad ou encore la Somalie. La raison principale s'explique par le fort taux de mariages d'adolescentes dans ces pays. L'enquête rappelle également des chiffres alarmants sur la condition des filles dans le monde"Dans le monde, toutes les sept secondes, une jeune fille de moins de 15 ans est mariée. Chaque année, 2,5 millions de filles de moins de 16 ans donnent naissance à un enfant". L'ONG ajoute que la grossesse et l'accouchement est la deuxième cause la plus fréquente de décès pour les filles entre 15 et 19 ans. Lire aussi À voir également sur Le HuffPost
Ainsi les personnes qui justifient d’un traitement médical en cours doivent s’assurer auprès de l’ambassade de Thaïlande la plus proche de leur domicile que les médicaments emportés sont autorisés. Des règles, en effet, s’appliquent selon la nature des médicaments et la quantité admissible.
Un paradoxe statistique bien connu a conduit de nombreux scientifiques à conclure que les mères de jumeaux étaient plus fertiles que les autres. En réalité, c'est précisément l'inverse, argumente une équipe internationale dans Nature Communications. En étudiant d'anciens registres de naissances des 18e et 19e siècles, ils concluent que les tests de fertilité actuellement utilisés en clinique ne sont pas tous pertinents... Et que ces erreurs statistiques sont particulièrement trompeuses en recherche. Le paradoxe de Simpson En 1973, un scandale frappe la prestigieuse Université de Berkeley Etats-Unis. Les candidats masculins sont 44% à avoir été pris, contre seulement 35% pour les candidates ! Pourtant, dans la plupart des cours pris séparément, le taux d’acceptation des femmes a été plus élevé que celui des hommes. Comment est-ce possible ? Un paramètre caché faussait tout le taux d’acceptation de chaque classe. En vérité, les femmes avaient beaucoup plus tendance à postuler aux cursus les plus sélectifs, diminuant leur taux d’acceptation. Ce type d’erreur dans laquelle l’analyse globale des chiffres inverse la réalité en raison d’un ou plusieurs paramètres non pris en compte se nomme le paradoxe de Simpson. “Ce problème peut émerger quand on compare des groupes d’individus pour en déduire des vérités à l’échelle individuelle”, explique à Sciences et Avenir Alexandre Courtiol, spécialiste en Biologie de l’Evolution à l’IZW de Berlin Allemagne. La fausse conclusion selon laquelle les mères de jumeaux sont plus fertiles En 2012, le chercheur tombe sur des travaux publiés dans une revue scientifique. “Ils expliquaient que les femmes ayant donné naissance à des jumeaux étaient plus fertiles que les autres”, raconte-t-il. “Mais toute leur démonstration était basée sur des erreurs statistiques qui risquaient au mieux de fausser leurs résultats, et au pire de les inverser”. Dans leurs nouveaux travaux, dont il est l’auteur principal, Alexandre Courtiol et toute une équipe de biologistes, généalogistes et statisticiens, l'ont démontré pires que faussés, les résultats étaient inversés, selon un pur exemple du paradoxe de Simpson. “En réalité, les femmes avec des jumeaux ont une fertilité un peu plus faible que les autres”, précise Alexandre Courtiol. Dans ce cas de figure, le paramètre caché était le nombre de naissances par femme. “Ce que les premiers chercheurs avaient constaté, c’est que les femmes avec des jumeaux avaient plus d’enfants, et ils en avaient conclu qu’elles étaient plus fertiles”, explique François Rousset, directeur de recherche au CNRS en Evolution et statistiques et co-auteur de ces nouveaux travaux. “Mais les conducteurs qui conduisent plus auront plus d’accidents. Cela ne veut pas dire qu’ils conduisent moins bien, mais qu’ils ont été plus exposés aux risques d’accident. De même, une femme qui a plus de naissances s’expose plus au fait d’avoir des jumeaux”. FAUX VS VRAIS JUMEAUX. Les vrais jumeaux sont issus d’un seul ovule fécondé qui s’est scindé en deux. C’est un événement rare qui donne deux individus génétiquement identiques. Les faux jumeaux, à la fréquence bien plus élevée et variable d’un pays à l’autre, sont issus de deux ovules fécondés par deux spermatozoïdes différents, comme des frère et sœur. Des registres de naissances d’il y a plusieurs siècles Pour en arriver à cette conclusion, l'équipe s'est penchée sur les registres de naissance tenus par les églises, de femmes nées entre les années 1670 et 1899 dans diverses communes de Finlande, Norvège, Suisse, Suède et Allemagne. Un recueil des données précédemment fait par des généalogistes spécialisés. “Traduire les registres paroissiaux c’est très compliqué. Même écrits en français, je n’y comprends rien, l'écriture manuscrite et les abréviations compliquent le déchiffrage”, avoue Alexandre Courtiol. Pourquoi ne pas utiliser des données contemporaines ? Tout simplement parce qu’entre la contraception et les PMA, le nombre d’enfants d’une femme ne reflète plus sa fertilité. “Nous avions besoin de données d'une époque où l’on cherchait à avoir des familles bien plus grandes qu'aujourd'hui”, explique François Rousset. Le record était d’ailleurs de 18 naissances pour une femme ! Une fois ces données numérisées et nettoyées, le vrai travail de l’équipe commence. “Ma mission était de développer des méthodes statistiques tenant compte de variables qu’on ne peut pas mesurer, mais qu’on peut prédire. On appelle ça des effets aléatoires”, ajoute le chercheur. Pour analyser les plus de naissances des registres en tenant compte de ces effets aléatoires - des prédispositions génétiques, par exemple -, il a fallu “optimiser le code, c’était un gros défi”. Et ça n'a pas été le seul challenge. “A plusieurs étapes, nous nous sommes rendus compte que nous tombions dans le même piège que nous essayions de dénoncer”, rapporte Alexandre Courtiol, tant ce type d’erreur statistique est facile. Les chercheurs finissent par mettre au point un modèle qui simule la vie reproductive des femmes afin d’évaluer différentes hypothèses biologiques. Ce modèle considère comment des aspects comme l'âge et la fertilité influencent le taux de jumeaux, l’intervalle entre les naissances et la probabilité de continuer à avoir des enfants après en avoir eu un certain nombre. Résultat, toutes choses étant égales par ailleurs, les femmes donnant plus de naissances avaient plus de chances d’avoir des jumeaux durant leur vie. Mais une fois qu’elles avaient des jumeaux, elles avaient une faible probabilité de donner à nouveau naissance, si bien que les femmes avec jumeaux avaient un nombre d’enfants légèrement inférieur à la moyenne. “Un équivalent serait de dire que les gens qui conduisent beaucoup ont beaucoup d’accidents, mais en même temps les gens qui ont plus de chances d’avoir des accidents parce qu’ils conduisent mal conduisent moins après. Les deux peuvent être vrais”, explique Alexandre Courtiol. LE FACTEUR GENETIQUE. Bien sûr, au-delà de la fertilité, certains facteurs génétiques jouent dans la probabilité d’avoir des jumeaux, “mais leur poids n'est pas si élevé que ça”, pointe Alexandre Courtiol. “Le facteur le plus fort, et de très loin, c’est l’âge de la mère.” La probabilité d’avoir des jumeaux augmente ainsi jusqu’à atteindre un pic vers l’âge de 35 ans, avant de diminuer à nouveau. Car si la chance d’avoir des jumeaux augmente avec l’âge, à partir d’un certain seuil, c'est le risque de fausse couche qui prédomine. Le paradoxe apparent des faux jumeaux dans l’Evolution Pour ces biologistes de l’Evolution, une question reste en suspens. “La persistance des 1 à 3% de jumeaux chez les humains semble être un paradoxe car les enfants naissent petits et donc fragiles et les mères ont des grossesses à risque qui diminuent leurs chances de survie”, remarque Alexandre Courtiol. Si la sélection naturelle ne l’a pas éliminée, c'est qu’il doit y avoir des bénéfices. Deux hypothèses se distinguent, qui pourrait bien être vraies toutes les deux. D’abord, la double ovulation nécessaire à la naissance de faux jumeaux pourrait être un mécanisme de compensation de la baisse de fertilité chez les femmes qui prennent de l’âge. Ensuite, il se pourrait que la naissance de jumeaux compense la baisse de fertilité féminine au lieu d’avoir un enfant avant de "fermer boutique", la mère en a deux. Mais cela ne fonctionne que si la survie des jumeaux est similaire à celle des enfants uniques, ce qui dépend probablement notamment de la prospérité de la population. Cette hypothèse pourrait avoir l’avantage d’expliquer en partie la variabilité du nombre de jumeaux d’un pays à un autre. TAUX DE FAUX JUMEAUX. En Asie de l'Est et en Océanie, on compte moins de 8 naissances gémellaires pour naissances, contre 9 à 16 en Europe, aux Etats-Unis et en Inde et 17 et plus dans certains pays d'Afrique, d’après une publication de 2011. La recherche en fertilité faussée Au-delà de la meilleure compréhension de la gémellité et des bonnes pratiques d’analyse statistiques, ces travaux ont un intérêt clinique. Car beaucoup d’études sur la fertilité féminine comparent un groupe de femmes mères de faux jumeaux de femmes qui n’en ont pas eu, partant du principe que les premières sont plus fertiles que les secondes. “Les faux jumeaux nécessitent une ovulation double au lieu d’une ovulation simple. L’idée est donc de comprendre d’où vient l’avantage de cette ovulation double pour s’en inspirer, créer des traitements pour la provoquer, ou l’anticiper l’arrivée des jumeaux. Ce n’est pas bête mais ça ne marche pas”, conclut Alexandre Courtiol. “Quand on crée un groupe de femmes avec et sans jumeaux, on crée des groupes de femmes qui ont vraisemblablement eu un nombre de naissances différent.” Si le souci est moins important de nos jours, où les femmes ont moins d’enfants qu’autrefois, le risque existe quand même de créer de faux effets de fertilité au niveau de gènes aux effets très faibles. Pire, “ça signifie que l’on passe à côté des bons gènes, qui pourraient vraiment jouer sur la fertilité”, pointe le chercheur. "Nous espérons que la pratique clinique s’améliorera en utilisant des protocoles qui tiennent compte de ces biais.”
Journalen français facile 18/08/2022. Clémentine Pawlotsky : Merci d'écouter RFI. Il est 22h00 à Paris, 23h00 à Lviv. Bonsoir à tous, bienvenue dans votre Journal en français facile, présenté ce soir avec Sylvie Berruet, bonsoir Sylvie ! Sylvie Berruet : Le classement 2019 des personnalités féminines les plus admirées au monde a été dévoilé. L'ancienne First Lady Michelle Obama arrive en tête. Inès Straub 1. Michelle Obama Best Image La personnalité féminine la plus admirée en 2019 est Michelle Obama. L’ancienne première dame des Etats-Unis, dont l’autobiographie Devenir Becoming » en anglais fait un carton, gagne une place par rapport à l’année dernière. 2. Oprah Winfrey Getty Images L’animatrice, actrice, philanthrope et productrice américaine Oprah Winfrey gagne une place et arrive en deuxième position de ce palmarès. Le talk show qu’elle a animé pendant plus de 22 ans The Oprah Winfrey Show, est le programme le plus vu de l'histoire de la télévision. Elle est désormais très engagée politiquement et certain la considèrent comme la candidate idéale face à Donald Trump en 2020. 3. Angelina Jolie Getty Images En troisième position, Angelina Jolie. L’actrice est depuis plusieurs années ambassadrice de bonne volonté du Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés HCR. 4. Elisabeth II Getty Images La reine Elisabeth II arrive à la quatrième place. A 93 ans, elle est le souverain britannique ayant régné le plus longtemps plus de 67 ans. 5. Emma Watson Getty Images Emma Watson clôture le top 5. L’actrice britannique est très engagée dans la lutte pour le droit des femmes et a d’ailleurs été nommée ambassadrice de bonne volonté par l'ONU Femmes. 6. Malala Yousafzai Best Image Icône de la lutte pour l’éducation des femmes, la pakistanaise Malala Yousafzai est sixième de ce classement. Dès son plus jeune âge, elle s’oppose aux Talibans qui tentaient d’interdire a scolarisation des filles. Elle est victime d’un attentat auquel elle survit miraculeusement. En 2014, alors âgée de seulement 17 ans, elle reçoit le prix Nobel de la paix. 7. Peng Liyuan Getty Images La première dame chinoise, Peng Liyuan, fait son entrée dans ce classement et se place septième. L’épouse du président Xi Jinping, ne doit pas sa renommée à son mari, puisqu’elle était avant même de l’épouser une star de la chanson en Chine. 8. Hillary Clinton Getty Images Ancienne first lady, secrétaire d’Etat des Etats-Unis et candidate malheureuse à l’élection présidentielle de 2016 face à Donald Trump, Hillary Clinton se place en huitième position. 9. Tu Youyou Sipa La neuvième place revient à Tu Youyou, pharmacologue et chimiste chinoise. Elle a reçu le prix Nobel de médecine en 2011 pour avoir mis au point un traitement contre le paludisme. 10. Taylor Swift Getty Images La chanteuse Taylor Swift clôture le top 10. L’auteur, compositeur et interprète a commencé sa carrière à 17 ans avec des musiques country et est devenue au fil des années une icône de la pop incontournable de sa génération. 11. Madonna Getty Images En onzième position, la reine de la pop Madonna. Icône féministe et adepte de la provocation la chanteuse a marqué le monde de la musique en plus de 30 ans de carrière. 12. Angela Merkel Getty Images La chancelière allemande Angela Merkel est douzième de ce classement. Désignée à douze reprises femme la plus puissante du monde par le magazine Forbes, elle fait partie des personnalités politiques les plus influentes. 13. Deepika Padukone Getty Images L’actrice indienne Deepika Padukone se place en treizième position. Véritable idole à Bollywood, elle est l’actrice la mieux payée d’Inde. 14. Priyanka Chopra Getty Images Actrice, chanteuse et Miss Monde 2000, l’Indienne Priyanka Chopra est quatorzième du classement. Depuis 2015, sa carrière prend un tournant international, grâce à la série américaine Quantico. 15. Ellen Degeneres Getty Images En quinzième position, l’animatrice et comédienne américaine, Ellen Degeneres. Dans les années 90, sa popularité fait un bond lorsqu’elle fait son coming out en direct dans The Oprah Winfrey Show. Depuis 2003, elle est aux commandes du très populaire talk-show The Ellen DeGeneres Show. 16. Aishwarya Rai Getty Images Aishwarya Rai se place seizième. Elue Miss Monde en 1994, elle devient une véritable star dans son pays et commence une carrière d’actrice à Bollywood. Considérée comme l'une des personnalités indiennes les plus populaires et les plus influentes à l'étranger, elle est la première actrice indienne à être membre du jury du Festival de Cannes en 2003. 17. Sushmita Senest Sipa Encore une ancienne Miss indienne dans ce classement. L’actrice et mannequin Sushmita Senest se place 17e. Elle est la première Indienne à remporter le titre de Miss Univers en 1994, la même année où Ai Aishwarya Rai remporte le titre de Miss Monde. Elle entame par la suite elle aussi une carrière à Bollywood. 18. Theresa May Getty Images La Première ministre démissionnaire Theresa May arrive à la 18e place. L’échec de la femme politique britannique à mener le Brexit ne l’a pas empêchée de figurer dans ce classement des personnalités les plus admirées. 19. Melania Trump Getty Images Troisième first lady du classement, Melania Trump est à l’avant-dernière place du classement. L’ancien mannequin slovaque a épousé Donald Trump en 2005. 20. Yang Mi Getty Images L’actrice et chanteuse chinoise Yang Mi clôture ce palmarès. Elle est l’une des actrices les plus populaires de cabinet d’étude de marché YouGov a dévoilé son classement annuel des 20 personnalités les plus admirées du monde. Cette année, l’ancienne first lady Michelle Obama arrive en tête du classement et détrône ainsi Angelina Jolie, qui occupait cette place depuis 3 ans. L’actrice est également doublée par la présentatrice américaine Oprah Winfrey, sur la deuxième marche du podium. Le top 5 est complété par la reine Elizabeth II et l’actrice engagée Emma Watson. Le palmarès est dominé par des artistes, 12 des femmes les plus admirées étant ainsi actrices, chanteuses, ou encore des présentatrices télé. Découvrez l’intégralité du classement en images !Pour mener à bien cette étude, un panel de 42 000 personnes à travers 41 pays a d’abord été amené à répondre à la question Quelles sont les personnalités vivantes que vous admirez le plus ? ». Les résultats ont été compilés en une liste de 20 femmes ayant reçu le plus de votes spontanés dans au moins 4 pays et 10 personnalités locales préférées différentes pour chaque pays. Cette liste a ensuite été soumise aux votants.>A découvrir également Qui sont les personnalités qui font rêver les jeunes Français ? le 23/07/2019 Sur le même thème
Lesfemmes représentent à peine 15% des parlementaires du monde a-t-elle dit, jugeant les progrès trop lents dans la mesure où seuls 17 pays comptent plus de 30% de femmes aux parlements, l’essentiel de ces pays se situant au nord de l’Europe tandis que les plus en retard sont dans le monde arabe. Elle a plaidé pour l’établissement de quotas, au
VOYAGE - Avez-vous déjà pensé de déménager à l'étranger? Laissez derrière votre vie pour une île paradisiaque ou une ville dynamique à l'autre bout du monde pourrait ressembler à un rêve, mais pour des millions d'expatriés, la vie à l'étranger est une réalité. VOYAGE - Avez-vous déjà pensé de déménager à l'étranger? Laissez derrière votre vie pour une île paradisiaque ou une ville dynamique à l'autre bout du monde pourrait ressembler à un rêve, mais pour des millions d'expatriés, la vie à l'étranger est une réalité. Que ce soit pour un emploi, une meilleure qualité de vie, ou pour l'amour, il y a beaucoup de raisons pour lesquelles les gens font le grand saut à l'étranger. InterNations, le plus grand réseau au monde pour les personnes vivant et travaillant à l'étranger, a récemment interrogé plus de 14 400 expatriés sur leur vie à l'étranger pour son enquête annuelle, l'Expat Insider. Les expatriés ont répondu à nombreux questions sur divers aspects de leur vie quotidienne dans leurs pays d'accueil, comme la qualité de vie, la facilité d'implantation, le travail à l'étranger, la vie de famille, les finances personnelles et le coût de la vie. Les destinations populaires comme les États-Unis, l'Espagne ou le Royaume-Uni peuvent immédiatement venir à l'esprit quand vous commencez à fantasmer sur votre destination, mais les expatriés du monde ont évalué les destinations suivantes comme les dix meilleurs endroits pour vivre à l'étranger en 2015 1. L'Equateur L'Equateur apparait le gagnant quand il s'agit des destinations pour les expatriés. Pour la deuxième année consécutive, ce pays a été classé comme le premier dans le monde pour les hommes et les femmes également. 2. Le Mexique En dépit des préoccupations de sécurité, plus de quatre sur cinq expatriés disent qu'il est généralement facile de s'habituer à la culture locale, et plus de 90 pour cent apprécie la gentillesse de la population mexicaine. 3. Malte Selon les sondés de l'enquête, Malta est la meilleure destination pour travailler à l'étranger. La satisfaction au travail est très haute, et deux-tiers ou plus des sondés sont généralement satisfaits de leurs perspectives de carrière, de l'équilibre travail-vie, et des heures de travail. 4. Singapour Singapour est un des tigres asiatiques et donc une destination attrayante pour ceux qui recherchent des emplois à revenu élevé. Le niveau de vie excellent, la qualité des soins de santé et des infrastructures de transport, ainsi que l'absence de barrière de langue, sont les facteurs qui plaisent le plus aux expatriés ici. 5. Le Luxembourg Deux tiers des expatriés sont généralement satisfaits de leur sécurité d'emploi au Luxembourg. Les perspectives de carrière et leur équilibre travail-vie sont également considérées comme un atout supplémentaire par les sondés travailleurs. 6. La Nouvelle-Zélande La grande majorité des expatriés trouve le choix des loisirs exceptionnel en Nouvelle-Zélande. L'environnement agréable et la culture locale décontractée font que les expatriés s'y sentent très à l'aise. 7. La Thaïlande Malgré la scolarité chère pour les enfants d'expatriés, le coût de la vie généralement favorable, les habitants sympathiques et le beau temps sont quelques-unes des nombreuses raisons pour lesquelles 87 pour cent des expatriés sont globalement satisfaits de leur vie en Thaïlande. 8. Le Panama Les expatriés au Panama considèrent leur bonheur personnel avoir augmenté depuis leur déménagement. En effet, 14 pour cent des répondants ont décidé de déménager pour une meilleure qualité de vie. 9. Le Canada Quatre sur cinq expatriés ont souligné la gentillesse de la population locale envers les résidents étrangers, se sentant ainsi les bienvenus au Canada. Plusieurs expatriés louangent également les activités de loisirs disponibles, et les parents qui élèvent des enfants au Canada l'apprécient en tant que destination pour les familles, l'impact positif sur la vie de famille et le bien-être de leurs enfants. 10. L'Australie A côté du climat excellent, la beauté des paysages et les possibilités abondantes de loisirs, c'est le caractère amical des Australiens que les expatriés aiment. Quatre sur cinq expatriés trouvent qu'il est facile de s'habituer à la culture australienne et se sentent chez eux ici. Également sur Le HuffPost 10. Hong Kong - 9. L'Inde - 8. Taïwan - 7. La Thaïlande - 6. La Nouvelle Zélande - 5. Bahreïn - 4. L'Allemagne - 3. La Chine - 2. Singapour - 1. La Suisse -

Lescommerçants de Bormes-les-Mimosas se sont confiés dans les colonnes du Parisien, dimanche 14 août 2022. Nombreux sont ceux qui ont affirmé que la présence d'Emmanuel Macron et de son épouse au Fort de Brégançon les dérange.

16 février 2017 à 18h16 par La rédaction The Journal of Female Health Sciences a réalisé une étude surprenante concernant les poitrines des femmes à travers le monde Pour se faire, les chercheurs ont analysés le tour de poitrine ainsi que la masse corporelle de 400 000 femmes représentants 108 pays différents. Bien évidemment, les femmes enceintes et celles portants des implants mammaires n'ont pas participé à l'expérience. Rapidement, les chercheurs se sont aperçus que les américaines avaient une plus grosse poitrine que le reste du monde leur tour de poitrine se situe toujours entre le bonnet F et G. Les deuxièmes sont les canadiennes et les irlandaises avec un bonnet D. Les polonaises et les anglaises complètent le top 5 des plus grosses poitrines du monde. Au contraire, les femmes qui ont les plus petites poitrines se trouvent en Asie du sud est, notamment aux Philippines et en Malaisie.
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À Kaboul, en Afghanistan, une manifestation d’une cinquantaine de femmes s’est tenue ce samedi matin 13 août devant le ministère de l’Éducation. Après cinq minutes, tirs en l'air et coups de crosse des talibans ont violemment dispersé le rassemblement de femmes pour le droit au travail et à l'éducation, près d’un an après l'arrivée au pouvoir des islamistes en Afghanistan. Avec notre envoyée spéciale à Kaboul, Cléa Broadhurst, et notre correspondante, Sonia Ghezali Justice, justice, on ne veut pas d’ignorance dans notre pays. » On sera toujours unies. » Nous les femmes, nous sommes réveillées. Nous voulons être libres. »Une cinquantaine de femmes, munies de banderoles sur lesquelles on pouvait notamment lire Le 15 août est une journée noire », ont défilé devant le ministère de l’Éducation, dans une rue très fréquentée. Elles scandaient leur slogan Pain, travail et liberté ». Ces femmes réclament le droit d’aller à l’école, le droit de travailler, de participer à la vie politique… Depuis que les talibans ont pris le pouvoir il y a un an, nous n’avons pas le droit de travailler, d’étudier, d’être active dans la société. Nous demandons à la communauté internationale et aux Nations unies de ne pas nous laisser tomber », a confié une jeune manifestante âgée d'une vingtaine d'années.► À lire aussi Afghanistan un an après le retour des talibans, l'horizon de plus en plus sombre des femmesBattues à coups de crosse de fusilEn cœur, elles criaient également que cela fait un an que les talibans disent qu’ils vont ouvrir les écoles mais qu’ils ne tiennent pas parole. Les voitures se sont arrêtées et les manifestantes ont pu avancer, serrées les unes contre les au bout de cinq minutes, des talibans se sont mis à tirer en l’air, en rafales, dispersant les femmes qui se sont réfugiées soit derrière des voitures, soit dans des magasins en attendant que les tirs ne cessent. Dans l’arrière d’un magasin, certaines nous ont dit être prêtes à mourir pour leur liberté. Ils ont arrêté plusieurs des filles dehors et nous, on s’est réfugiés ici. Vous entendez les tirs ? Nos vies sont en danger mais nous n’arrêterons de faire entendre nos voix », a confié l'une d'elle. Trois minutes plus tard, une porte s'est ouverte, laissant apparaître dans l'embrasure un taliban, armé d'un fusil kalachnikov. Partez. Dégagez, je ne veux plus voir vos visages ici », a-t-il lancé. Les femmes ont alors quitté la boutique, cramponnées les unes aux autres, en hâtant le pas. Dans la rue, les banderoles des manifestantes gisaient au sol, au milieu des cartouches usagées. Des manifestantes ont été pourchassées puis battues à coups de crosse de fusil par des talibans. Une dizaine de journalistes locaux et étrangers ont été détenus quelques heures. Certains ont été frappés par les talibans.► À lire aussi Afghanistan les femmes subissent les mariages contraints et les emprisonnements abusifs, selon Amnesty Des combattants talibans tirent en l'air pour disperser des manifestantes afghanes à Kaboul, le 13 août 2022. AFP - WAKIL KOHSAR Lundi8 mars, journée internationale des femmes. Dans les campagnes, le destin des petites Chinoises repose encore sur une longue tradition dominée par les hommes. Mais leur statut évolue L’archipel de Bahreïn ne ressemble à aucun autre pays du Golfe. L’air y semble plus léger et la vie plus facile. Cette impression commence dans l’avion, lorsque le jeune Bahreïnien qui fait des études économiques à l’Université américaine de Beyrouth éclate de rire en apprenant que se tient un sommet sur la condition de la femme arabe dans la capitale de son pays. Il ne comprend pas l’utilité d’une telle réunion, alors que, selon lui, les femmes de son pays ont tous leurs droits. Mais l’idée ne le rebute pas, au contraire, elle l’amuse. D’ailleurs, tout au long des quatre jours passés dans ce royaume minuscule, l’impression d’amusement restera prédominante. Comme si, sous le chaud soleil de Bahreïn, la vie était forcément plus agréable et les problèmes plus facilement solubles. Ce n’était pourtant pas facile de gérer la présence dans le royaume de cinq premières dames avec leurs délégations, ainsi que les discordances arabes qui se reflètent dans les positions de chaque pays. Vendredi à Bahreïn, c’est le jour d’afflux des Saoudiens. Un pont sépare l’austère royaume des Saoud du petit archipel et tous les week-ends [jeudi et vendredi dans les pays musulmans] les Saoudiens qui vivent dans les régions proches viennent en masse se détendre à Manama et dans les îles voisines. Ce qui augmente considérablement le nombre des femmes voilées jusqu’aux yeux, marchant sagement derrière leur époux, dans les centres commerciaux propres et bien frais. Car les femmes de Bahreïn, elles, sont plutôt libérées dans leurs tenues vestimentaires. Elles sont décentes, plutôt traditionnelles, mais ne suivent certainement pas les coutumes islamistes. A Bahreïn, d’ailleurs, les femmes vivent normalement, conduisent leur voiture et peuvent se rendre seules là où elles le désirent. Il n’y a pas de lieu qui leur soit interdit, ni d’activité qui soit prohibée. Elles tiennent boutique, ouvrent des commerces, sont avocates ou médecins ou encore simples femmes au foyer actives dans les œuvres de bienfaisance, elles vivent comme les autres femmes et ont les mêmes problèmes se battre pour arriver, pour obtenir un poste, pour faire le mariage de leur choix et pour éduquer leurs enfants. D’où vient ce vent de “normalité” qui souffle sur ce petit pays, entouré de la gigantesque et austère Arabie Saoudite ? Sans doute la tradition d’ouverture du pays et la modernité de la famille régnante, Al-Khalifa, connue pour sa modération et sa volonté de rester proche de la population, sont-elles en grande partie responsables de cette différence. De plus, la population mixte [une majorité de chiites et une importante minorité de sunnites] est, ici, une source d’enrichissement intellectuel. Une sorte de diversité sans animosité semble caractériser le petit archipel. Les galeries sont nombreuses et les artistes très prisés Le royaume n’est certainement pas le plus riche des pays du Golfe et, contrairement à Dubaï, il ne cherche pas à devenir un centre économique régional pour Occidentaux. Bahreïn veut conserver son identité et développer une vie culturelle qui n’est pas très présente dans les autres pays du Golfe. Chez les Bahreïniens, l’art occupe ainsi une grande place, les galeries sont nombreuses et les peintres et les sculpteurs très prisés. Pour un si petit pays, les écoles sont nombreuses et l’université nationale est assez performante, même si la plupart des jeunes font leurs études universitaires aux Etats-Unis… ou au Liban. Dans le petit périmètre entourant l’hôtel Sheraton et le palais Al-Koudaybiya, où s’est tenu le sommet, les mesures de sécurité avaient beau être strictes, l’atmosphère générale restait à la détente. Cinq premières dames ont pourtant participé à ce sommet la Libanaise Andrée Lahoud, l’Egyptienne Suzanne Moubarak, la Syrienne Asma El-Assad, la reine Rania de Jordanie, Widad Boubekr, l’épouse du président soudanais, et l’hôtesse, la cheikha Sabika bint Ibrahim Al-Khalifa, épouse du roi de Bahreïn. Cette dame, issue de l’une des plus grandes familles de Bahreïn, est l’épouse officielle du roi, la plus importante “cheikha” du pays, mais elle n’a pas été intronisée reine lorsque son époux s’est proclamé roi de l’archipel. Et nul n’a trouvé à y redire, considérant que l’épouse du roi ne doit pas forcément être une reine. Naturellement, les problèmes de fond concernant la condition des femmes dans le monde arabe n’ont pas été au cœur des débats. C’est d’ailleurs souvent le cas dans les réunions qui se tiennent au niveau des premières dames, le travail approfondi se faisant généralement au cours des réunions préparatoires ou dans les ateliers de travail. Même le mariage n’est pas chez elles un sujet tabou Mais il faut reconnaître à ce sujet que les femmes de Bahreïn semblent les moins concernées par la cause de la femme. Toutes celles que nous avons pu interroger ont pris le thème à la légère, riant du militantisme de certaines participantes, notamment les Egyptiennes. Pour la majorité des femmes de Bahreïn, il n’y a pas de raison d’entrer en conflit avec les hommes pour des droits qui sont déjà acquis. Epanouies et à l’aise dans leur vie et dans leur attitude, elles ne semblent pas en manque de mixité, pouvant sortir avec des jeunes gens dans les restaurants et les cinémas, allant aux mêmes universités et fréquentant les mêmes lieux publics. Même le mariage n’est pas chez elles un sujet tabou, la seule réserve étant que, dans certaines familles, notamment celles des milieux aisés ou proches du pouvoir, il reste arrangé les parents dictent leurs décisions aux enfants suivant des intérêts familiaux ou économiques. Mais les femmes bahreïniennes ne s’en plaignent pas trop. Elles ne sont pas des révolutionnaires ou des pasionarias, préférant profiter de la vie et des bienfaits d’une grande stabilité politique et d’une certaine aisance matérielle. Les femmes sont élues aux conseils municipaux et sont membres du Conseil consultatif, ce qui leur permet de participer aux décisions politiques, autant que le système royal le permet. D’ailleurs, la première impression qui se dégage de ce pays, c’est que les gens ne semblent pas avoir de grandes inquiétudes pour l’avenir, les jeunes faisant des études à l’étranger, mais revenant, dans la plupart des cas, travailler et se marier dans leur pays, qu’ils considèrent comme un paradis sur terre. Même la main-d’œuvre venue d’Asie du Sud-Est paraît bien traitée et bien plus à l’aise que dans les autres pays du Golfe. Selon un recensement officiel, la population du royaume de Bahreïn était en 2001 de 406 000 citoyens, avec 50,43 % d’hommes et 49,56 % de femmes. Toujours selon le même recensement, les pourcentages de diplômés hommes et femmes sont pratiquement égaux, avec une différence minime en faveur des hommes. Source de l’article L’Orient-Le Jour BeyrouthLongtemps le quotidien francophone de Beyrouth, né en 1971 d’une fusion entre L’Orient et Le Jour, a été la parfaite illustration du “Liban de papa” francophone et chrétien que la guerre civile allait tourner en dérision. Le départ des élites fuyant la violence de la guerre et le recul de la langue française au pays du Cèdre auraient dû donner le coup de massue à ce funestes prédictions ne se sont heureusement pas accomplies. Pas seulement grâce au retour au pays dans les années 1990 des milliers de familles francophones fuyant une Afrique déchirée par les guerres ou une Europe en proie à la crise économique, mais grâce à un véritable dynamisme rédactionnel et à l’arrivée d’une nouvelle génération de journalistes qui manient un français vif et percutant sans préciosité, ni entourloupe, ni autocensure voyante… Et il n’est pas exagéré d’affirmer que L’Orient-Le Jour est aujourd’hui le plus intéressant quotidien libanais et l’un des meilleurs du monde site du quotidien témoigne aussi de ce dynamisme, puisqu’il est l’un des rares de la région à renouveler ses informations plusieurs fois par jour. Certes les vieilles habitudes n’ont pas pour autant disparu et les articles “de complaisance” occupent encore un petit espace, mais cela reste tout à fait acceptable devant l’affligeant recul éditorial d’une certaine presse libanaise. Même les ragots mondains de L’Orient-Le Jour gardent un second degré qui peut nous arracher un sourire. Lire la suite Nos services
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